Découvrir les nouveautés | Livraison/Retour gratuits

Veuillez sélectionner la région d’expédition souhaitée :

  • Australia

  • Austria

  • Belgium

  • Canada

  • China

  • Czech Republic

  • Denmark

  • Finland

  • France

  • Germany

  • Ireland

  • Italy

  • Japan

  • New Zealand

  • Norway

  • Poland

  • Spain

  • Sweden

  • Switzerland

  • The Netherlands

  • United Kingdom

  • 4 4 5.5 4ZM3.5 4C3.22386 4 3 3.77614 3 3.5C3 3.22386 3.22386 3 3.5 3C3.77614 3 4 3.22386 4 3.5C4 3.77614 3.77614 4 3.5 4ZM1.5 4C1.22386 4 1 3.77614 1 3.5C1 3.22386 1.22386 3 1.5 3C1.77614 3 2 3.22386 2 3.5C2 3.77614 1.77614 4 1.5 4ZM2.5 5C2.22386 5 2 4.77614 2 4.5C2 4.22386 2.22386 4 2.5 4C2.77614 4 3 4.22386 3 4.5C3 4.77614 2.77614 5 2.5 5ZM4.5 5C4.22386 5 4 4.77614 4 4.5C4 4.22386 4.22386 4 4.5 4C4.77614 4 5 4.22386 5 4.5C5 4.77614 4.77614 5 4.5 5ZM6.5 5C6.22386 5 6 4.77614 6 4.5C6 4.22386 6.22386 4 6.5 4C6.77614 4 7 4.22386 7 4.5C7 4.77614 6.77614 5 6.5 5ZM7.5 6C7.22386 6 7 5.77614 7 5.5C7 5.22386 7.22386 5 7.5 5C7.77614 5 8 5.22386 8 5.5C8 5.77614 7.77614 6 7.5 6ZM5.5 6C5.22386 6 5 5.77614 5 5.5C5 5.22386 5.22386 5 5.5 5C5.77614 5 6 5.22386 6 5.5C6 5.77614 5.77614 6 5.5 6ZM3.5 6C3.22386 6 3 5.77614 3 5.5C3 5.22386 3.22386 5 3.5 5C3.77614 5 4 5.22386 4 5.5C4 5.77614 3.77614 6 3.5 6ZM1.5 6C1.22386 6 1 5.77614 1 5.5C1 5.22386 1.22386 5 1.5 5C1.77614 5 2 5.22386 2 5.5C2 5.77614 1.77614 6 1.5 6Z"

    United States

Veuillez sélectionner la région d’expédition souhaitée :

  • Australia

  • Austria

  • Belgium

  • Canada

  • China

  • Czech Republic

  • Denmark

  • Finland

  • France

  • Germany

  • Ireland

  • Italy

  • Japan

  • New Zealand

  • Norway

  • Poland

  • Spain

  • Sweden

  • Switzerland

  • The Netherlands

  • United Kingdom

  • 4 4 5.5 4ZM3.5 4C3.22386 4 3 3.77614 3 3.5C3 3.22386 3.22386 3 3.5 3C3.77614 3 4 3.22386 4 3.5C4 3.77614 3.77614 4 3.5 4ZM1.5 4C1.22386 4 1 3.77614 1 3.5C1 3.22386 1.22386 3 1.5 3C1.77614 3 2 3.22386 2 3.5C2 3.77614 1.77614 4 1.5 4ZM2.5 5C2.22386 5 2 4.77614 2 4.5C2 4.22386 2.22386 4 2.5 4C2.77614 4 3 4.22386 3 4.5C3 4.77614 2.77614 5 2.5 5ZM4.5 5C4.22386 5 4 4.77614 4 4.5C4 4.22386 4.22386 4 4.5 4C4.77614 4 5 4.22386 5 4.5C5 4.77614 4.77614 5 4.5 5ZM6.5 5C6.22386 5 6 4.77614 6 4.5C6 4.22386 6.22386 4 6.5 4C6.77614 4 7 4.22386 7 4.5C7 4.77614 6.77614 5 6.5 5ZM7.5 6C7.22386 6 7 5.77614 7 5.5C7 5.22386 7.22386 5 7.5 5C7.77614 5 8 5.22386 8 5.5C8 5.77614 7.77614 6 7.5 6ZM5.5 6C5.22386 6 5 5.77614 5 5.5C5 5.22386 5.22386 5 5.5 5C5.77614 5 6 5.22386 6 5.5C6 5.77614 5.77614 6 5.5 6ZM3.5 6C3.22386 6 3 5.77614 3 5.5C3 5.22386 3.22386 5 3.5 5C3.77614 5 4 5.22386 4 5.5C4 5.77614 3.77614 6 3.5 6ZM1.5 6C1.22386 6 1 5.77614 1 5.5C1 5.22386 1.22386 5 1.5 5C1.77614 5 2 5.22386 2 5.5C2 5.77614 1.77614 6 1.5 6Z"

    United States

Nouveautés

Boostez vos performances avec des designs légers au confort durable.

Retour gratuit

Vous avez changé d’avis ? Retournez les articles admissibles dans un délai de 30 jours. Effectuer un retour gratuit.

Agents du changement » Une maison pour tous: Des répercussions multiples

Une maison pour tous
Des répercussions multiples

Un petit groupe d’architectes japonais conçoit une multitude de petits abris communautaires pour aider des centaines de gens qui ne peuvent plus rentrer chez eux à aller de l’avant.

Voir maintenantDes répercussions multiples
Agents du changementDes répercussions multiples

À la suite du grand tremblement de terre de 2011 au Japon, un petit groupe d’architectes japonais refuse de laisser la taille du désastre les empêcher de proposer une solution. Ils conçoivent alors une multitude de petits abris communautaires, adaptés à chaque quartier touché, dans un mouvement qu’ils appellent « Home for All ». Ils aident ainsi des centaines de personnes dont les foyers ont été détruits à aller de l’avant, tout en transformant radicalement leur approche du design, puisque tout ce que nous produisons nous façonne en retour. C'est ce type de mouvement qui prend toute son ampleur grâce la collaboration des uns avec les autres - et les repercussions sont multiples.

Agents du changement

Arc’teryx est un groupe de designers, de perfectionnistes, de créateurs et de passionnés d'outdoor. Dans ces histoires, nous célébrons ceux qui s'attaquent à des problèmes complexes, et qui mettent le design au centre pour les résoudre.

Aujourd’hui, il est temps de réfléchir au delà du produit, et de partager notre soif de résoudre des problèmes.

Le design est notre façon d’y parvenir. À vous d'agir.

Contrairement à l'architecture traditionnelle, les abris de 'Home For All' sont conçus par tous et pour tous. Des espaces ou chacun peut sentir chez soi.

Cela faisait 6 ans que Michiko Okano exerçait comme architecte, véritable étoile montante travaillant pour l’un des designers japonais les plus influents, Toyo Ito, qu'elle réalisa que les immeubles, son propre moyen d’expression, pouvaient devenir des armes de destruction. Le tsunami déclenché par le grand tremblement de terre japonais en 2011 a soulevé les immeubles, les a démolis et a transformé des villages entiers en champs de ruines. Lorsque les eaux se sont retirées, les survivants n'ont pu que constater l'ampleur du désastre, des voitures sur les toits, des arbres emmélés aux poteaux électriques, des carreaux de leur salle de bain soufflés dans tout le voisinage et des horloges arrêtées pour toujours à 15 h 33.

Les constructions étaient réduites en miettes. La dévastation était totale, terrible.
Appuyer pour lancer la vidéo
Appuyer pour lancer la vidéo
Appuyer pour lancer la vidéo

Deux mois après le tremblement de terre, Okano a visité la région de Tohoku, sur la côte nord-est de l’île principale du Japon qui a subi le catastrophe naturelle aux conséquences les plus coûteuses de l’histoire. La dévastation l’a bouleversé.

Elle a décidé de trouver un moyen d’aider.

Hiroshi Shirakawa se lève à 3 h 30 du matin pour démarrer sa journée de récolte d’algues.

Lorsque le tremblement de terre a eu lieu, à 2 h 46 le 11 mars 2011, la maison d’Hiroshi Shirakawa a tremblé pendant six minutes. En 72 ans, il n’avait jamais rien vécu d’aussi terrible. Plus tard, le monde découvrirait que la magnitude du tremblement était de 9.1. Celui-ci à déplacé l’île principale du Japon, Honshu, de 2,4 mètres vers l’est, changé l’axe de la terre de 25 centimètres, généré des ondes sismiques qui ont cassé la banquise en Antarctique et des ondes sonores qui furent détectées jusque dans l’espace. Ce tremblement de terre a dépassé toutes les prévisions, surpassant les limites appliquées aux sismomètres japonais, ce qui a eu pour conséquence de retarder ou de fausser beaucoup des alertes d’urgence envoyées par le système automatique d’alerte au tsunami.

Dans sa maison encore tremblante, dans la petite ville d’Oya, perchée au-dessus de l’océan Pacifique, Shirakawa savait ce qui arriverait ensuite. Issu d’une longue lignée de pêcheurs, il a grandi en écoutant les histoires de son père et grand-père à propos des gigantesques tsunamis déclenchés par les tremblements de terre dans le passé. Enfant, il a dû s’échapper vers les hauteurs de nombreuses fois. Il n’avait pas besoin d’une alerte du gouvernement pour prévoir ce qui allait arriver. Mais il n’avait aucune idée de sa taille.

Un bâtiment particulier est construit en béton rose sur la colline au-dessus d’Oya : le Rias Ark Museum of Art. L’immeuble a été endommagé par le tremblement de terre, mais son emplacement sur la colline a permis aux employés d’être en lieu sûr pendant le tsunami qui a suivi trente minutes après. Aux alentours de 15 h 25, la vague a commencé à déferler. Cinq minutes plus tard, la plus grande vague a envahi la ville. Depuis le toit du musée, les employés ont vu les vagues arriver, puis les nuages blancs de fumée et de poussière des maisons balayées s’élever sur la ville. Ils ont promis de devenir témoins et se sont engagés ce jour-là à documenter le désastre. Durant les deux années suivantes, ce sont 30 000 images et 250 objets qui sont collectés.

L’un des chercheurs a écrit pendant les mois suivants : « la ville commence lentement à revivre à nouveau. Pourtant, cela ne signifie pas qu’elle a récupéré. Les gens et les immeubles situés dans la zone du désastre ont tout juste reçu l’équivalent de premiers secours, ils n’ont pourtant pas eu d’autre choix que d’aller de l’avant. Il reste un long chemin à parcourir. »

Il est surréaliste de passer en voiture à travers ces villes et villages reconstruits 8 ans après, avec les images « avant » et « après » juxtaposées dans l’esprit. De nombreuses initiatives ont été prises suite au grand tremblement de terre : des immeubles renforcés, de nouvelles routes d’évacuation, de meilleures alertes d’urgence, des robots essayant sans succès de combler la brèche du réacteur nucléaire, des sites de commémoration, des kilomètres de plantations de pins pour créer une barrière forestière entre l’océan et les villes reconstruites, Homes for All ou encore de gigantesques digues de béton pour arrêter la mer.

Parfois, on a la respiration coupée par l’amplitude de ces réponses.
Chaque acte a une conséquence. Ce qui renforce quelque chose, affaiblit l'autre. Les habitants qui résident près des digues anti-tsunami ne peuvent plus voir l’océan ni sentir connectés avec lui.

Dans certains lieux, les restes ont été empilés en monticules géants, quinze collines de onze mètres de haut qui servent à la fois de stockage des débris, de mémorial et de futur refuge, inspiré de l’improbable histoire de trois survivants qui on désespérément escaladé une petite colline de dix mètres derrière leur maison alors que celle-ci était engloutie par le tsunami. Les buttes Millennium Hope Hills sont conçues comme une ligne de défense pour protéger les gens des futurs désastres, un endroit sûr et une tactique pour retarder le désastre. Des centaines de volontaires ont planté onze types d’arbres, une future forêt qui à maturité dans 20 ans pourrait mitiger la force d’un tsunami. Le but n’est pas de retenir la nature, mais d’en tenir compte et de donner aux gens un petit peu plus de temps pour évacuer les lieux.

Mr. Shirakawa a tout perdu ce jour-là : sa maison, ses trésors de famille, ses photographies, une nièce, sa communauté. Il a porté sur son dos une grand-mère jusqu’à un terrain plus élevé, avec le reste de sa famille. Lorsque le tremblement de terre a cessé, l’eau avait disparu du port. Elle a reculé, étrangement, loin de la digue de béton qui abritait les bateaux étroits de la communauté, plus loin que les terrains de récolte d’algue. Hors de vue, le tsunami prenait de la force, aspirant l’océan dans sa gueule, raclant même le fond marin, rendant l’immense vague qui déferlerait quelques minutes plus tard totalement noire.

Retourner chercher le chien à conduit à la mort de nombreux voisins ce jour-là, explique Shirakawa. Aucun de ceux qui ont vu la vague arriver n’a survécu. Ce jour-là, la ligne entre la vie et la mort était particulièrement étroite. Il fallait fuir vers le point le plus haut, sans retourner prendre une photo, chercher le chien ou surveiller la scène... sous peine de ne jamais être revu. Aujourd’hui encore, il n’oublie pas le son particulier des immeubles s’écroulant. « Gura gura gura gura. »

Le gouvernement japonais possède un stock de logements d’urgence disponibles, des containers démontables qu’ils peuvent rapidement déployer pour abriter les populations déplacées. Les survivants du tsunami de 2011 n’imaginaient pas qu’ils allaient passer de nombreuses années dans des logements d’urgence. Tout le long de la côte, des kilomètres de logements temporaires furent établis pour remplacer les 250 000 maisons détruites.

Au même moment, l’architecte Toyo Ito a eu une idée. Pourquoi ne pas demander à ses collègues, les architectes, de concevoir une réponse adéquate à la tragédie ? Cela ne résoudrait pas tout, en particulier pas le désastre du réacteur nucléaire de Fukushima, mais dans les communautés balayées par la tragédie, il y avait un besoin, et une opportunité, de concevoir une manière pour les gens de se rassembler. Pourquoi ne pas proposer d’imaginer et construire des espaces communautaires pour se retrouver? C’est ainsi que Home for All est né.

Le design consiste à créer des relations. La première étape consiste en l’écoute des futurs utilisateurs de l’espace. S’imaginer dans leur environnement permet de mieux comprendre leurs besoins.

Astrid Klein, du cabine Klein Dytham Architects, a travaillé avec Ito il y a trente ans, à son arrivée au Japon.

A. Klein, désormais membre du conseil de Home for All, explique que les maisons japonaises sont typiquement des espaces très compacts. Il n’y a pas vraiment une tradition de divertissement à la maison, les gens socialisent normalement dans les restaurants ou les espaces publics. Il n’existait plus rien de cela après le tsunami. Il y avait seulement des camps de logements temporaires, basiques, fonctionnels, pas très grands. Klein explique « cela n’aide pas beaucoup les gens au niveau émotionnel. Lors d’une tragédie, ils ont besoin de se rassembler, de s’étreindre, de parler et de sentir qu’ils ne sont pas seuls. »

C’est la raison d’être de Home for All, un lieu pour que les gens retrouvent le goût de la vie, après que leurs vies entières aient littéralement été balayées.

On attribue beaucoup de choses à l’architecture, mais celle-ci peut aussi créer du lien, permettre à une communauté d’exister. Le toit d’un centre communautaire Home For All est construit à base de débris et de dons de matériaux.

Lorsque Ito a proposé à ses équipes et à ses relations professionnelles de participer, Michiko Okano s'est tout de suite portée volontaire. C'était sa façon d’aider les autres.

C’est inutile de construire quelque chose que personne n’utilisera. - Michiko Okano

Le travail est réalisé sous forme de volontariat, en plus de son travail. On lui a attribué la communauté d’Iwanuma. 5428 maisons endommagées, 736 complètement emportées. Les locaux regardaient d’un œil méfiant l’architecte venue de la ville avec des idées extravagantes, mais Michiko a persisté, réalisant des enquêtes parmi eux, les rencontrant, leur demandant avec quels matériaux ils aimeraient reconstruire. Elle a fait du bénévolat pendant ses weekends pour planter du riz avec eux.

Les fermiers locaux voulaient un espace pour vendre leurs légumes. Michiko n’avait pas d’expérience en architecture traditionnelle Wagoya, mais elle voulait créer un espace qui donne une impression de confort, de sécurité, un souvenir des choses disparues, comme une ferme japonaise traditionnelle, construite avec du bois et des matériaux naturels laissant entrer la lumière. Chaque contribution qu’elle a reçue de la part des locaux a pris une place dans les fondations qu’elle imaginait, sur lesquelles elle allait construire une « minna-no-ie », une maison pour tous.

Le jour où elle leva la main pour répondre à Ito, elle n’imaginait pas où son engagement allait l’emporter.

Michiko comprend que lorsqu’on conçoit des espaces pensés pour l’humain, les choses changent constamment, même après la conception. Elle imagine de nombreuses manières d’utiliser l’espace.

« J’étais choquée » se rappelle Michiko de son état lorsqu’elle a appris l’ampleur du désastre. « Je sens que j’ai été sauvée par Home for All. Tout le monde avait perdu des proches, leur maison, tout le monde était touché, mais il y avait aussi une sorte de force humaine parmi les survivants. Ils me l’ont communiqué. »

L’intégralité de la manière de pratiquer l’architecture de Michiko a changé depuis qu’elle a commencé à contribuer à Home for All. « Avant le tsunami, je pensais que l’architecture était une manière de donner de l’espoir aux gens. Mais l’architecture peut aussi les blesser. Les débris sont devenus des armes. »

Ceux qui ont tout perdu veulent laisser quelque chose pour les générations à venir. Lorsque la nature emporte votre environnement, il vous reste votre cœur.

Elle avait l’habitude de travailler d’une manière très contemporaine, séparant le dedans du dehors : on ferme bien la fenêtre, on allume la climatisation. « Maintenant, je veux créer du confort sans provoquer une séparation aussi nette entre l’intérieur et l’extérieur ! »

Aussi paradoxal que cela puisse paraitre, les murs offrent une protection moindre en cas de désastre qu’un fort sens de la communauté et une connexion à la nature. « L’architecture à un grand potentiel pour créer des communautés. Elle peut procurer des endroits pour que les gens se rassemblent et se sentent communauté au quotidien, ce qui peut rendre de grands services lorsqu’une catastrophe arrive. »

Michiko Okano et ses collègues de Home for All ont réalisé lorsqu’ils ont remonté leurs manches pour concevoir des bâtiments aidant au rétablissement des communautés japonaises que nous faisons partie de la nature. Malheureusement, cette prise de conscience a été brutale. La réponse qu’ils proposent est un retour bienvenu à la communion avec les gens et la nature.

Comment puis-je aider ?

Aidez-nous a soutenir l’équipe d’architectes volontaires de Home for All pour leurs projets courants a Tokoku et Kumamoto.

Le 9 octobre, Arc'teryx offrira 100 % de ses recettes de vente sur www.arcteryx.com à Home for All.

Faites un don

home-for-all.org

Voir maintenantDes répercussions multiples
Les agents du changement
Kai Lin
Sans filet

Inspiré par les chamois et l'envie d’aider les autres, un designer industriel forme une alliance improbable avec un grimpeur handicapé.

Nat Panek
Croisade contre les débris spatiaux

Curiosité et haute technologie robotique contre les débris spatiaux.

Unicef
Closing the Gap

Arc'teryx prête son expertise en isolation et conditions extrêmes à un effort collaboratif global en Mongolie.